mercredi 16 novembre 2022

Balade à PIERROT du 11 11 2022

 

C'est par un bel après midi que nous nous sommes retrouvés à Bénodet pour une balade de plus de 9 kms.

     

Mais connaissez vous l'histoire de Bénodet?


Alors je vais vous la conter :

Au Moyen Âge, la remontée de l'Odet n'étant pas des plus aisées pour les navires de commerce, Bénodet servait d'avant-port commercial à Quimper. Au xiiie siècle, le port de Bénodet était relativement important et armait pas moins de dix navires pour le compte de négociants quimpérois qui commerçaient principalement avec Nantes et Royan. En échange de poissons bretons utilisés dans la fabrication de pâtés bordelais, les navires revenaient chargés de raisin et de vin. Sur la rivière de l'Odet, la petite anse de « Porz ar Gwin » ("le port au vin") reste le témoin du passage de ces navires pinardiers qui rythmèrent la vie du port de Bénodet et de la rivière, vers Quimper, jusqu'aux années 1970.


En 1596, Bénodet devient le repaire d'un chef de guerre et brigand ligueur, Christophe d'Arradon, baron de Camors, qui vint s'établir à Bénodet après avoir été chassé d'Audierne et Pont-Croix, rançonnant les marchands de Quimper, Pont-l'Abbé et l'Île-Tudy et rendant tout commerce impossible. Le , des bateaux appartenant à la troupe du soldat ligueur et brigand Guy Éder de La Fontenelle,  attendaient dans le port de Bénodet pour prendre part au pillage. En 1648, une dizaine de pirates espagnols installés aux Glénan rendent tout trafic du port quasi impossible.


Au xviie siècle, Bénaudet (orthographe utilisée à l'époque) est sous la mouvance des seigneurs de Bodigneau (Bodinio) en Clohars-Fouesnant, mais fait partie de la paroisse de Perguet.


Benjamin Girard, dans son livre « La Bretagne maritime », publié en 1889, décrit ainsi Bénodet les siècles précédents :

« Bénodet était il y a trois siècles un hameau habité par quelques familles de pêcheurs. Dès cette époque, son mouillage offrait un abri précieux aux navires surpris par le mauvais temps entre les Glénan et Penmarc'h. (...) Pendant les guerres du Premier Empire, un grand nombre de navires, chargés d'approvisionnements divers à destination de Brest, purent aborder à Bénodet, en échappant à des croiseurs anglais, obligés, par les dangers de la côte, à se tenir au large. Une corvette de la marine impériale s'y réfugia ; bientôt attaquée par des péniches anglaises armées d'artillerie légère, elle repoussa cette attaque grâce à l'appui des batteries de côte dont les défenseurs furent efficacement secondés par les habitants du pays. (...) Bénodet est un lieu de relâche très fréquenté : le mouillage y est excellent et on y trouve, à certains endroits, plus de 10 mètres d'eau à mer basse. La Compagnie des Indes eut, dit-on, le projet d'y faire un port. Deux fanaux, l'un à la pointe du Coq, l'autre à la Pyramide, indiquent la direction à suivre pour entrer dans l'Odet. Un troisième feu, situé sur la rive de Combrit, près du sémaphore, sera prochainement allumé. (...) Les ouvrages du port actuel comprennent un quai de 53 mètres de longueur et une cale perpendiculaire à ce quai, dont la longueur est de 66,50 mètres. À l'extrémité de cette cale les navires trouvent, à haute mer 4 m en vive eau ordinaire et 2,83 m en morte eau. Le commerce local consiste en quelques expéditions de poteaux de mines vers l'Angleterre et de bois à brûler pour les ports voisins ; 18 chaloupes y font la pêche côtière, principalement celles du congre et du homard. »

Selon une étude effectuée par René Bleuzen79, malgré sa situation littorale, les paysans prédominaient : en 1849 : une centaine des électeurs de Perguet, sur un total de 149 électeurs, étaient alors cultivateurs.

Le bulletin du conseil général du Finistère de décembre 1877 écrit : « Le conseil municipal de Perguet demande que la commune soit autorisée à échanger le nom de Perguet contre celui de Bénodet »93 ; le conseil général donne un avis favorable dans sa séance du .La commune de Bénodet est née.

Bénodet comptait environ 150 habitants en 1878. C'était la seule agglomération de la commune et seules quelques routes encaissées y menaient.

En 1884 une école de garçons ouvre à Bénodet

Jusqu'à la Révolution française, les deux seigneuries  possèdent conjointement les droits de passage de l'Odet entre la cale du Perguet (du nom de la paroisse de Perguet, ancien nom de l'actuelle commune de Bénodet) et celle de Sainte-Marine, qu'ils afferment tous les six ans au plus offrant. Après la Révolution française, le département du Finistère prit en charge le bac permettant de relier Sainte-Marine et Bénodet. Le fonctionnement du bac était aléatoire ; c'était au début du xixe siècle une simple barque permettant de faire traverser les piétons. Le premier véritable bac mis en service en 1817, se mouvant à la rame et à la godille, disparaît lors d'une tempête en 1823 et un nouveau bac, grand, avec un équipage de huit personnes, est alors construit, mais il est abandonné en 1835. D'autres adjudicataires du contrat d'affermage se succèdent, mais la traversée reste irrégulière et incertaine.


En 1890 la mise en service de deux bacs charretiers de 10 mètres de long et trois mètres de large est un grand progrès ; un essai de service assuré par une régie départementale échoue et le bac est à nouveau affermé . L l'un des bacs fait naufrage en raison de son manque d'entretien et de sa vétusté mais sans faire de victimes.  Renfloué il reprend du service jusqu'en 1905, le second continuant toutefois à fonctionner. En 1906, Adrien de Baroncelli écrit : « Au hameau de Sainte-Marine, un grand bac à rames permet de traverser l'embouchure de l'Odet. Ce bac transporte au besoin des automobiles, néanmoins l'embarquement et le débarquement ne sont pas commodes ; enfin si plusieurs voitures doivent passer, on risque d'attendre longtemps son tour ». Le tarif est alors de 5 centimes pour les piétons, 10 centimes pour les bicyclettes, 2 francs pour les automobiles et la durée de la traversée est estimée à six minutes.

Le premier bac à vapeur, long de 15 mètres et large de huit mètres, est mis en service le  : il est tracté par des chaînes mouillées s'enroulant autour d'un tambour, mais il doit cesser son fonctionnement dès 1925 car le mécanisme a mal vieilli et les pannes étaient trop fréquentes.

Un nouveau bac à vapeur est inauguré le , mais coule lors d'une tempête (le patron aurait oublié de fermer l'un des hublots !) dans la nuit du 4 au  dans le port de Bénodet ; il est renfloué et reprend du service après réparations le  jusqu'au , jour où les Allemands le dynamitent. 

Une vedette à moteur, puis un chaland provisoire en bois le remplacent alors, la liaison n'étant rétablie avec un véritable bac qu'en 1951 : ce bac peut charger un maximum de 20 voitures et, très vite, est engorgé, principalement en saison estivale, en raison de l'accroissement du trafic (28 000 véhicules en 1951, 135 000 en 1964, 290 000 en 1971, le bac fonctionnant alors 18 heures par jour). Le temps d'attente avant d'embarquer peut être supérieur à une heure et de nombreux automobilistes, ainsi que les poids lourds, doivent faire le détour par Quimper où la rocade sud et le pont de Poulguinan (qui permet de traverser l'Odet juste en aval de Quimper) n'existent pas encore (mis en service en 1974).

Pour assurer la traversée de l'Odet, un bac charretier (à gauche) a été mis en service en 1888 et remplacé en 1911 par un bac à vapeur (à droite).

La mise en service le  du Pont de Cornouaille, construit par le département du Finistère entre Le Cosquer en Combrit et Kergos en Clohars-Fouesnant, également appelé « pont de Bénodet » permit de relier enfin sans problèmes les deux rives de l'estuaire de l'Odet, donc le Pays fouesnantais au Pays Bigouden, même s'il fut à péage jusqu'en 1987, date de l'amortissement de ses frais de construction.


Pont de Cornouaille.

La naissance d'une station balnéaire 

Dès le Second Empire, le site de Bénodet commence à attirer une population aisée à la recherche de lieu de villégiature et les premières maisons élégantes voient le jour à proximité du port.

Mais le développement de Bénodet est directement lié à l’arrivée du chemin de fer à Quimper en 1863. Ainsi, dès 1870, Bénodet commence à voir se développer une nouvelle forme de tourisme élégant, adepte des bains de mer. En août 1875, sont organisées des manifestations nautiques constituant de fait un lancement quasi officiel de la station. Cette pratique balnéaire intègre alors l'histoire de Bénodet au même titre que le furent la pêche ou l'agriculture.

Le bourg, jusque-là regroupé autour du port, va alors s’agrandir et se transformer de façon continue jusqu’à aujourd'hui. De grandes propriétés, des villas (certaines sont classées) voient le jour le long de l'estuaire de l'Odet ; par exemple c'est en 1875 que Fernand Dauchez, avocat et important homme d'affaires parisien, découvre Bénodet et achète la propriété de Kergaït qui domine l'Odet à l'entrée de l'anse de Penfoul, qui fut son lieu de vacances d'été jusqu'à son décès en 1925.


 Si la première auberge, faisant aussi hôtel, ouvre dès le début du xixe siècle, plusieurs hôtels sont construits à la fin du xixe siècle, face aux plages ou à la rivière, le plus connu étant le "Grand Hôtel", construit en 1880, où descendirent artistes, gens de lettres et "yatchmen" souvent britanniques.


Autant d'éléments qui accélèrent, au tournant du xxe siècle, un essor touristique qui ne cessera de croître par la suite et qui finira par conférer à Bénodet le statut de station balnéaire de plus en plus fréquentée, par exemple en août 1892, Sarah Bernhardt vint se reposer un mois à Bénodet.

Le 1, en vertu de la Loi du 1er juillet 1901, un arrêté du préfet du Finistère laïcise l'école de Bénodet.

Des travaux d'élargissement du quai du port de Bénodet sont effectués en 1906. En 1912, 118 élèves sont inscrits à l'école de Bénodet, mais 25 ne peuvent être admis, faute de place. Une seconde classe ouvre enfin en 1913. L'école de Perguet compte 98 élèves en 1912. 
Un bureau de bienfaisance ouvre à Bénodet le .

La Première Guerre mondiale

77 personnes originaires de Bénodet sont mortes pour la France pendant la Première Guerre mondiale.

La vie à Bénodet pendant la Première Guerre mondiale est racontée dans un article de Louis Ogès, à l'époque instituteur et secrétaire de mairie ; il évoque l'atmosphère lors de la déclaration de guerre qui perturbe la "saison touristique" qui alors battait son plein, la peur des paysans de ne pas pouvoir faire les moissons, l'inauguration dès le  d'une plaque commémorative offerte par le maire Bouilloux-Lafont et destinée à recevoir les noms des enfants de Bénodet morts pour la patrie (elle s'avéra hélas beaucoup trop petite), l'installation par le maire d'un hôpital bénévole pour convalescents (le plus célèbre fut Guillaume Apollinaire) de 27 lits dans l'Hôtel de la Plage. Des torpilleurs furent basés à Bénodet pendant la guerre.

Dès le début du siècle dernier, l'estuaire et la baie devinrent un lieu de rendez-vous des yachtmen naviguant dans la région ou venant d'outre-Manche. Leurs yachts faisaient alors escale à Bénodet. 


Le , le conseil municipal proteste contre les extractions de sable sur la plage du Trez, sinon « dans une année ou deux, la réputation de Bénodet comme station balnéaire ne sera plus qu'un mythe et ce sera pour les habitants la plus affreuse misère ». En 1913, pour la première fois, la plage du Trez est surveillée pendant la saison balnéaire, avec le concours des Hospitaliers-Sauveteurs bretons.

Un recensement effectué le  montre que 359 personnes étrangères à la commune y résidaient alors ; dont 30 étrangères, ce qui montre que la station avait déjà à l'époque un début de rayonnement international.

C'est durant l'été que la station était la plus fréquentée et, dès les années 1920, différentes animations estivales virent le jour à Bénodet. Bénodet est classée officiellement "station climatique" en 1919 et "station de tourisme" par un décret du . En 1921, 57 villas en location sont recensées et 322 chambres d'hôtel. Vers 1930, de 1200 à 1500 touristes fréquentent chaque année Bénodet. Une taxe de tourisme est perçue à partir de 1932 et le syndicat d'initiative est créé dès 1934.


En 1923 est décidée la construction de l'école de hameau de Menez Groas. L'école privée Notre-Dame ("Steredenn Vor") ouvre en 1927.

Un devis pour le projet de construction d'un réseau d'adduction d'eau potable est accepté en 1929 et un éclairage public est mis en place à partir de 1930.

Un décret du  autorise la création d'un bureau de bienfaisance dans la commune de Bénodet.

Une équipe de football, l'"Étoile de Bénodet", existe dans la décennie 1930.


La Seconde Guerre mondiale

Vingt personnes de Bénodet sont mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale.

En 1942, la marine de guerre allemande installe à Bénodet, l'arsenal de Lorient ayant été partiellement détruit par les bombardements alliés, une base de réparation et d'entretien pour ses dragueurs de mines. 

Un groupe de résistants FFI créé à l'initiative de Maurice Capron, membre du réseau "Vengeance ", se développa à Bénodet. Maurice Capron, arrêté par la Gestapo fin février 1944, déporté d'abord au camp de concentration de Neuengamme, est mort d'épuisement en déportation à Fallersleben (près de Wolfsburg) le .


Le , le grand phare de Bénodet est décapité à mi-hauteur par les Allemands ; le phare du Coq et celui de Combrit, le dock, le bac sont également dynamités, ainsi que les bouées de la Rousse et de la Potée, ce qui représente une gêne considérable pour la navigation (par contre les cales d'accostage de Bénodet et Sainte-Marine restent intactes) ; les Allemands quittent Bénodet le lendemain, après avoir jeté dans le port de grands quantités de munitions. Le grand phare fut reconstruit à l'identique en 1950.

Le , un détachement de la marine FFI, fort de 115 hommes, s'installe à Bénodet et démine le port, qui sert de mouillage pour les marines alliées.  Le port de Bénodet est à nouveau libre d'accès dès la fin du mois d'août 1944, 

À partir des années 1950, mais surtout dans les décennies 60-70, dans la mouvance de démocratisation de la pratique de la voile initiée pour partie par l’école de voile des Glénans, Bénodet connut des années rythmées par les régates de dériveurs et l’activité de ses écoles de voile (YCO et UCPA). Devant la grande plage, quelques précurseurs firent évoluer les premiers catamarans puis les premières planches à voile. À proximité de Bénodet, sur les rives de l'OdetÉric Tabarly choisit un jour de s'installer et son Pen Duick évoluait régulièrement dans la baie.


Le "Palais des Congrès" est ouvert le , le cinéma et la thalasso un peu plus tard.

En 1971 ouvre le groupe scolaire de Kernével, ce qui entraîne la fermeture des autres écoles publiques.

En 1992, Bénodet faisait partie des 10 communes bretonnes ayant la plus forte capacité d'accueil en nombre de places de camping.



Le phare du coq


Je vous ai à l'œil!!




mercredi 9 novembre 2022

RALLYE DU 24 SEPTEMBRE 2022

 




Compte rendu de la journée du 24 septembre 2022

 

Rendez-vous était donné sur le parking de la chapelle de la Joie à 10h00.

Tout le monde était fin prêt.

Participaient les :

 

ZEBRODOCUS

 

 

LES RHYNOFEROS

 

                                             

 

  LES  CHAMOUTHS

 

 

 

LES CROCORAPTORES

 

  

  

et les GIRAPHOSAURES étaient aussi au rendez-vous !

Et voilà c’est parti.

 Isabelle, Fabienne et Jean-Marc les transportent dans une aventure abracadabrantesque que voici narrée.

 

Rappel des précédents épisodes :

Le pays bigouden était, par le passé, peuplé d’êtres plus petits que les humains, au nombre desquels on peut notamment citer les korrigans, les poulpiquets et autres nozeganed.

Depuis lors, cette terre de légende a cédé pour partie la place à l’agriculture intensive.

Unique résistant dans cet univers productiviste, un écureuil d’obédience druidique, dénommé Gwinver bat la campagne en quête d’aventures.

 

 L’écureuil  Gwinver a reçu un message d’un lointain ancêtre lui annonçant l’arrivée très prochaine d’un hibernatus. Il s’agit d’un ascendant femelle congelé à l’époque préhistorique dans une gigantesque masse de glace du Pôle Sud. Le bestiau est réapparu à la surface lors d’un carottage d’une équipe de chercheurs français provisoirement installés en Amérique du Sud. Pour pouvoir poursuivre leurs expérimentations les scientifiques ont décidé de rapatrier l’animal au muséum d’histoire naturelle de Paris.

A cet effet, la carotte glacée a été placée dans un conteneur expédié par bateau. Lors d’une épouvantable tempête, le cargo a perdu de nombreuses caisses dont celle contenant le sujet d’étude ! Elle a dérivé au large de Cap Caval et a dû s’échouer samedi dernier, à 10H00 si nos calculs sont bons, en face de la Chapelle de la Joie.

Gwinver s’est rendu ce matin sur les rochers et a constaté l’échouage d’un conteneur d’où s’échappe des cris déchirants, des hurlements désespérés et des grognements aussi terrifiants qu’insolites.

Gwinver, quoique impressionné, s’est approché et a ouvert la boîte métallique découvrant ainsi un animal singulier ressemblant un peu à la gente rongeur grimpeur. La créature se distingue par de grandes dents acérées sur le devant de la gueule, d’énormes yeux globuleux, une fourrure toute mitée et galeuse, une queue démesurée mais il émane surtout d’elle une fragrance intensément fruitée, une odeur particulière ; … disons qu’elle pue autant de la gueule que des pieds.

Gwinver essaye d’entrer en communication avec l’étrange bestiole mais il a besoin de votre concours.

Afin de lui venir en aide vous devez lui rapporter un talisman composé d’éléments trouvés dans la nature et qui sont familiers à cette femelle, dénommée Blevruz comme a fini par le comprendre Gwinver.

Munis de ce talisman décodeur, vous avez la journée pour imaginer le texte que Gwinver s’est évertué à faire comprendre à Blevruz comprenant obligatoirement les mots suivants :

 

Valétudinaire

 

Borborygme

Bidoche

Céleri rémoulade

 

Gynécologue

Marche à l’ombre

Panthère rose

 

Bretelles

Xylophone

Water

 

Pétard

Borgne

Persil plat

 

Ostéospermum

Slip kangourou

Vernaculaire

 

Lampadaire

Acadabrantesque

Syphilis

 

Brosse à dent

Vilipender

 

 

Voici ce qu’ont produit trois équipes :

LES ZEBRODOCUS

« Une panthère rose valétudinaire, habillée d’un slip kangourou, complètement abracadabrantesque, cheveux en pétard ressemblant à du persil plat, se fit vilipender par un gynécologue lui reprochant sa syphilis.

Furieuse, la panthère rose, qui était borgne, se précipita dans la rue et se prit un lampadaire ; elle lâcha des borborygmes et se dit « marche à l’ombre » jusqu’au prochain water closed …

Pour se réconforter, elle s’offrit un bouquet de marguerites africaines, nom vernaculaire de l’ostéospernum, et dégusta du céleri rémoulade accompagné de bidoche, avant d’utiliser sa brosse à dents au son du xylophone. »

 

LES CHAMOUTHS

« Il était une fois une panthère rose vernaculaire et borgne à l’air valétudinaire. Effectivement, depuis plusieurs jours elle ne pouvait plus avaler sa bidoche accompagnée de céleri rémoulade et de persil plat. En outre, quand elle se rendait au water cela se produisait avec force borborygmes abracadabrantesques.

Elle décida de consulter son gynécologue. Lorsqu’elle eu retiré ses bretelles et son slip kangourou, le praticien, en pétard, la vilipenda : « vous êtes atteinte d’une forme grave de syphilis ostéospernum. Je vous recommande de vous étriller régulièrement avec une brosse à dents. »

Depuis ce funeste jour, pétrie de honte, elle ne sort qu’en évitant soigneusement les lampadaires pour marcher à l’ombre. Mais elle reste le plus clair de son temps tranquillement chez elle à jouer du xylophone. »

 

LES GIRAPHOSORES

« Je ne comprends rien à ton borborygme. Tu m’as l’air d’être un drôle de vernaculaire au ventre flasque et au pétard mou. C’est sans doute ta mauvaise hygiène de vie qui te rend si valétudinaire. Je te conseille une bonne soupe aux ostéospernum agrémentée d’un soupçon de persil plat, suivi d’une petite salade de céleri rémoulade. Le mieux même, tout en mangeant, est de te faire bercer par quelques notes de xylophone, sous la lumière tamisée d’un lampadaire. Ça t’aidera à vider correctement ta bidoche et à ne pas, ainsi, encombrer les waters. 

Bien sûr mieux vaut te servir après d’une belle brosse à dents dont tu n’as pas l’air, apparemment, de connaître l’existence. Fais gaffe, c’est comme ça qu’on attrape la syphilis, il paraît ! C’est une panthère rose vêtue d’un slip kangourou retenu par des bretelles qui me l’a dit. Une célèbre gynécologue l’a également évoqué, il me semble, mais ça concernait d’autres organes et son histoire abracadabrantesque ne mérite pas d’être rapportée ici.

Mais il ne faudrait pas vilipender quiconque ! Le borgne est roi au pays des aveugles comme on dit, surtout quand il marche à l’ombre, et ça, c’est moi qui le dis ! »

 

Nous n’avons pas le texte de l’équipe des  crocoraptores ;  les rhynoféros ont zappé l’épreuve !

 

L’histoire se poursuit :

« Gwinver veut maintenant faire découvrir la mer à la rescapée. Il la conduit à l’endroit où un dénommé Hervé, injustement inculpé de pillage d’épaves aurait dû être exécuté. Malin comme un écureuil le présumé coupable s’est enfuit et a été condamné à mort par contumax. Son effigie a été pendue à l’endroit où vous retrouverez nos compères pour de nouvelles aventures. 

En cas de difficulté pour découvrir ce lieu d’étape, vous pouvez vous aider en résolvant l’énigme contenue dans l’enveloppe jointe ; son ouverture vous fera cependant perdre la moitié des points attribués à l’épreuve »

 

SOLUTION DE L’ENIGME



VIOLON                                              GEOLE

JET DE FER                                        RUADE

PERIODE DE CHALEUR                      ETE

DESIR ARDENT                                   VOEU

EXTERIEUR                                        ETRANGER

VIOLON                                              DEPOT

PLANTE POTAGERE                           EPINARD

LACET DE BOTTE                               PO

PLANTE POTAGERE                           OSEILLE

EMOUSSE                                           USE

BATEAU A VOILES                              LOUGRE

RENOMMEE                                        GLOIRE

ANCIEN PAYS                                     URSS

MEPRISE                                            EGAREMENT

DESSUS                                              NAPPERON


 Arrivée sur la grève, Blevruz dessine dans le sable des animaux préhistoriques pour décrire à son sauveur l’environnement dans lequel elle évoluait avant d’être prise par les glaces.

Epreuve : Désignez deux personnes de votre équipe qui à tour de rôle vont dessiner, les yeux bandés, un animal dont elles donneront préalablement le nom.

C’est Isabelle qui fournissait feuilles, foulard et feutres.

                             

 

Admirez les œuvres d’art !!

                           

Après cette pause artistique, l’histoire reprend :

Les lèvres de Blevruz sont desséchées par l’atmosphère saline : elle a grand soif !! Son compagnon d’infortune la conduit à un endroit de la commune où naguère avait poussé un vignoble.

Là, il lui propose de tirer au sort une carte des vins et une carte d’eaux minérales dans lesquelles se sont glissé un intrus.  Retrouvez ce lieu et aidez la à dénicher l’indésirable dans chaque catégorie de carte.

 

Il fallait donc savoir qu’au château des Cormorans il y eut un vignoble de 5 000 pieds de vigne qui poussaient sous serre.

Et c’est là que je vous attendais avec les cartes que voici :

..

 

CHERCHER L’INTRUS

EAUX LIMPIDES

 

DIVA

RIEUMAJOU

ZILIA

VITAMIN WELL

BENEVA BLACK …………….. (boisson détox avec charbons actifs)

BLING

AMERINO

BRU

SOLAN DE CABRAS

CLOS DE L’ABBAYE

BLK

 

 

CHERCHER L’INTRUS

EAUX GAZEUSES

 

CESAR

ARTESIA

SAINT-GEORGES

UNAJU

PINEO ………………. (eau plate)

LA SASSE

BAICKAL

ESSENTUKI

FILLICO

RAW

SVALBARDI

 

CHERCHER L’INTRUS

Eaux plates

 

VERONIQUE

SANT’ ANNA BIO

NUMEN

BORJOMI

SOLE ARTE ………………. (eau gazeuse)

SHIZEN

ACETOSELLA

VIDAGO

MARIE STELLA MARIS

FIJI

SVALBARDI

 

CHERCHER L’INTRUS

Bourgognes rouges

 

MOREY-SAINT-DENIS

FIXIN

ECHEZEAUX

ALOXE CORTON

SAVENNIERES   ……………. (Vin de Loire)

IRANCY-LA BERGERE

MARANGES

PERNAUD VERGELESSES

MONTHELIE

GIVRY

RULLY

 

Il fallait s’y attendre : aucune équipe n’a trouvé l’intrus !

Mais ça n’empêche pas les différents équipages de reprendre l’épopée de Gwinver.

 

Gwinver propose une balade historique à son aïeule désaltérée et la guide vers un lieu très ancien pour lui faire découvrir des bijoux et des outils de son époque.(casse cupules, silex et autres céraunies ).

Comme son ancêtre ne semble pas reconnaitre grand-chose, notre héros s’interroge sur la qualité de sa mémoire. N’aurait-elle pas été altérée par tant d’années de congélation ?

Pour s’en assurer Il lui propose un jeu de mémoire. Elle réussit à retenir huit des vingt mots. Désignez deux participants qui tenteront d’améliorer son score !

Jean-Marc attendait les équipes au Musée de la Préhistoire avec deux listes de mots à mémoriser. Chaque équipe devait choisir une des listes. Elle disposait de 5 minutes pour les mémoriser et 3 minutes pour les restituer.

 

Les participants reprennent la lecture :

Ayant remarqué l’état pitoyable de la fourrure de son ainée, Gwinver lui propose un bain de siège ricazaraïdesque dans une fontaine face à l’entrée d’une chapelle réputée pour guérir les maladies cutanées.

Rendez-vous à cette chapelle. »

Hé oui c’était la chapelle de la Madeleine qu’il fallait deviner et c’est là que la pose méridienne a eu lieu.

 

Après s’être rafraîchi le fessier dans l’onde pure Blevruz rêve de déjeuner sur le pré.

       

        

      

Gwinver a préparé à cet effet un barbecue au bois. L’usage des silex étant désormais révolu, il tend à son aïeule des allumettes pour y mettre le feu. Intriguée par ces petites buchettes à l’extrémité phosphorée dont elle ne connait pas l’usage, elle imagine un casse-tête qu’elle soumet à son futé compagnon. Pouvez-vous l’aider à le résoudre ?

Assise sur le bord de la fontaine, Isabelle propose ses casse-têtes tels que la reconstitution d’une figure en bougeant un nombre d’allumettes limité.

 Les glands grillés étant avalés, Gwinver, inspiré par ce « déjeuner sur l’herbe », propose à son ancêtre de peindre une toile.

Comme l’art rupestre n’est plus le mode d’expression en vogue, il convient de former Blevruz aux nouvelles techniques.

Pour ce faire, rien ne vaut l’enseignement par l’exemple. Votre épreuve consiste, pour deux membres de votre équipe, à reproduire une toile célèbre sur un paperboard.

PS : Pour cette deuxième épreuve les deux équipiers sont dos à dos : l’un décrit l’œuvre peinte au second qui l’exécute à l’aide de feutres.

 

 

( TABLEAUX DOS A DOS )

                                          

 

Voyons les œuvres …

  

            

 

   


Le plus amusant est de voir maintenant l’oeuvre de départ :           

                    

                 Ok ils ont tous des circonstances aténuantes : n’est pas Dahli qui veut !!

 

Fatigués nos deux compères rêvent d’une sieste (crapuleuse ?) Ils s’assoupissent dans un petit logis composé de chanvre et de chaux.

Ramenez une photo ou un dessin de cet habitat.

         

                                                                            Toc, toc : on fait la sieste là-dedans?!!

 

Sitôt réveillée de sa sieste Blevruz constate qu’elle perd encore et toujours ses poils à pleines touffes !

Se remémorant d’anciennes pratiques naturalistes, elle se rend près d’un lec’h surmonté d’une croix dénommée « AR GREUZ VEUS » où elle accomplit le rituel lui permettant de retrouver sa superbe robe originelle.

                            

Tournez avec elle trois fois dans le sens inverse des aiguilles d’une montre autour de ce point d’acuponcture situé à proximité de son lieu de sieste.                                              

Blevruz est désormais transfigurée; quelle ravissante midinette ! Elle a retrouvé toutes ses dents.

Gwinver s’était déjà épris d’elle avant sa transformation. Il en est maintenant complètement marteau. Pour vous mettre dans la confidence, leur union a été consommée juste avant la sieste..! C’est pour cette raison que Gwinver, en écureuil de bonne famille, lui propose de convoler en justes noces.

Selon la tradition immémoriale des tamias et autres polatouches, leur union s’officialise par l’échange de galets bénis par un druide.

A vous de leur apporter l’exemplaire de ces cailloux sur lequel sera indiqué le numéro de votre équipe. Vous le trouverez dans la dernière demeure du cénobite celtique non loin de là.

                                                    

Muni de votre galet, vous allez vous joindre à la cérémonie qui se déroule au siège du doyenné de CAP CAVAL.

Il fallait se rendre à la chapelle BEUZEC et delà on trouvait la stèle celtique christianisé ainsi que le menhir où se trouvaient les cailloux

A l’issue de cette célébration, et pour préserver intact ce haut lieu commémoratif, ils convient de le remettre en état.

Dans votre grande générosité, vous décidez d’assister nos deux tourtereaux.

A vous de retrouver et de déposer dans un seau les 20 bouchons éparpillés sur le sol.

Pour vous y aider vous serez muni de baguettes chinoises….

Tous les membres de votre équipe concourent pour cette épreuve chronométrée. 

Après ce pénible labeur, Gwinver souhaite faire partager sa passion à sa dulcinée.

En sa qualité d’expert et grand collectionneur de cupules, il la conduit près d’une stèle gauloise ayant la forme d’un menhir,  ornée de 26 cupules. Cette curiosité est située « route de la mer ».

Rejoignez-les.

C’est à Saint Jean Tolimon  que se trouve cette stèle route de la mer, non loin de la chapelle TRONOËN

                                                    

Gwinver présente à son épouse Blewruz sa collection de glands… Votre intérêt partagé pour les akènes ne se démentit pas. Aussi nous vous proposons de décrire et reconnaitre par le seul toucher (les yeux bandés) les cupules et autres éléments placés dans un sac mystère.

LE SAC MYSTERE CONTIENT LES OBJETS SUIVANTS :

 

- GLAND

- FANTÔME

- COQUILLE D’ESCARGOT

- CHIEN EN ELASTIQUES

- ACCROCHE SERVIETTE

- BOUCHON HERMETIQUE

- CLE USB

- MIRLITON

- « LE PETIT CHOSE »

- DECAPSULEUR

 

Blevruz s’émeut devant tant de beauté et de douceur. Elle ne regrette pas sa vie préhistorique ! Quel beau voyage de noce ! Que la vie est paisible en Bretagne !

Par honnêteté et tout en se montrant rassurant, Gwinver lui décrit quelques faits historiques plus chaotiques tels la violente répression de certaines révoltes au 18ième siècle à l’ouest du royaume. A tire d’exemple, le 18 avril de l’an de grâce 1675, la foule rennaise met à sac les bureaux du fisc an criant «  VIVE LE ROI… SANS GABELLE ET SANS EDITS »

Ce fut le prélude à une très violente révolte antifiscale. Pour la réprimer, le Duc de Chaulnes fit pendre tous les supposés rebelles et fit araser les clochers des églises coupables d’avoir appelé à la révolte.

Cherchez une de ces églises, édifiée au cours du 13ième siècle dans le style de l’école de Pont Croix.

 

Jean-Marc attendait les équipages à Pont l’Abbé à la chapelle du LAMBOURG

Devant tant de désolation, le rongeur propose à son épouse de rebâtir le clocher. Pour se faire, il dispose de poutres enchevêtrées, entassées sur le sol.

Aidez nos deux bâtisseurs dans leur tâche en prélevant les poutres une à une sans faire bouger les autres.

D’autres injustices sont à noter, en particulier la terrible histoire de deux sonneurs bigoudens injustement pendus en 1786 en lieu et place de deux brigands qui sévissaient dans la région à la même époque. Cherchez le lieu de leur sépulture à un endroit dénommé : allée «  Ar Justiciou »    

 

Alors là il fallait être malin pour trouver cet endroit qui se trouvait dans un des lotissements de PONT L’ABBE dans un lieu très discret. Mais vous l'avez tous été ! Bravo!!

                                    

Un jeu vous y attend. En moins de neuf tentatives, vous aurez à trouver un mot de dix lettres en devinant les caractères qui le composent. Chaque erreur contribue au dessin d’une potence ! Serez-vous pendus ?

 

JEU DU PENDU

Mots à découvrir :

 

APOCALYPSE

FLIBUSTIER

MAHARADJAH

QUADRICEPS

SOLILOQUER

 

Pour se remonter le moral, nos deux lutins des bois se remémorent quelques bribes d’une chanson :

« J’veux partir

Redevenir un homm’ préhisto

Avec rien sur la peau … »

 

Trouvez et photographiez son auteur !

                                 

Paroles de « Tamtam l’homme préhisto » de Michel Polnareff

Qui n’a pas aperçu cet arbre à Pont l’ABBE ?

Cette chanson rend Blevruz nostalgique. Elle se remémore ses balades dans les steppes gelées, parmi les machairodontes, les écureuils à dents de sabre, les mammouths laineux et autres grizzlis.

Gwinver lui fait observer que beaucoup de progrès scientifiques préservent dorénavant les espèces animales et humaines. Par exemple, les conséquences de la foudre sont aujourd’hui maîtrisées grâce à l’installation générale des paratonnerres, ce qui n’était pas encore le cas il y a 150 ans.

Aidez Gwinver à retrouver le marbre funéraire grandeur nature d’une jeune victime d’un orage, prénommée Anne et foudroyée à l’âge d’un an lors de ce drame.

Pour cette dernière étape, il faillait se rendre au cimetière de LOCTUDY.

                                        

Nous n’oublions pas le fil conducteur de notre rallye qui prend fin avec cette dernière épreuve, à savoir : « rendre réel l’irréel et possible l’impossible ».

Afin de vérifier cette maxime, vous pourrez ressusciter Anne grâce à votre dextérité !


DECOUPAGE EN PROFIL DU MENEUR DE JEU SUR UNE FEUILLE DE FORMAT A4.  

  

   

  

 

 Pour finir la journée, nous nous retrouvons à la « Maison Pour Tous » à Penmarc’h où Jean-Marc procède au décompte des points et à la remise des prix.

 

Voici le barème des épreuves :

 

POINTS MAXI ET DUREE PAR EPREUVE

                                                                                          

TEXTE IMPOSE                                            20 POINTS            

TALISMAN                                                    10 POINTS            

DESSIN LES YEUX BANDES                         10 POINTS               

INTRUS                                                         10 POINTS               

JEU DE MEMOIRE                                        15 POINTS                                                   

DESSIN DOS A DOS                                     15 POINTS               

ALLUMETTES                                               5 POINTS   

BOUCHONS                                                  5 POINTS                

                                                           Meilleur chrono en cas d’égalité

SAC MYSTERE                                             10 POINTS            

MIKADO                                                        5 POINTS                

JEU DU PENDU                                             5 POINTS             

DECOUPAGE                                                10 POINTS            

TOTAL MAXI :                                                  120 POINTS

 

QUITTE OU DOUBLE:                                      20 POINTS                   1 MN /réponse

10 questions

plus 2 points pour chaque bonne réponse

     moins 4 points pour chaque réponse erronée

 

 

TOTAUX PAR EQUIPE

 

Zebrodocus n°1       Chamouths n°2      Giraphosaures  n°3            Rhinoferos n°4             Crocoraptores n°5

EQUIPES                                                   1              2           3          4           5

PENDU                                                        4             5           3          3          3

DESSIN YEUX BANDES                          10            4           4          6           8

INTRUS                                                       0             0           0          0           0

JEU DE MEMOIRE                                  15          15         15        15          15

ALLUMETTES                                            5             3           2          3            3

DESSIN DOS A DOS                               15            3         12          9            6

BOUCHONS                                               5             3           3          2            4

SAC MYSTERE                                           9             0           9        10            9

MIKADO                                                     3             5           4          0            2

PORTRAIT DECOUPE                               4             8           6          2          10

 

1er SOUS-TOTAL                                     70          46         58        50          60

 

TALISMAN                                                 0           10         10          0            0

TEXTE IMPOSE                                       20          20         20          0          20

2ème SOUS-TOTAL                                  90          76         78        50          80

 

QUITTE OU DOUBLE                           +10          -5        +10     +10         -20

 

TOTAL GENERAL                                  100          71       88         60          60

CLASSEMENT FINAL                           1er           3ème   2ème      4ème       4ème           


REMISE DES PRIX

 

Les organisateurs adressent leurs chaleureux remerciements aux généreux sponsors sans le soutien desquels cette soirée de gala n’aurait pu connaître un tel succès, nous citons :

-        Les maisons Cartier, Van Cleef & Arpels ainsi que la Maison Boucheron,

-        La manufacture royale de Limoges,

-        La filature bicentenaire Arpin,

-        Le fabricant producteur autrichien Esther Oil,

-        Les Moulins et Minoterie du Bocage,

-        Les moines de l’Abbaye de Cîteaux,

-        Le Ministère de l’Education Nationale et de la Jeunesse.

1er prix :        les Zébrodocus :

cupule d’or

                        Coupe

                        Feuilles de lauriers (couronne à tresser)

 

2ème prix :     les Giraphosaures

cupule d’argent

                        Corbeille de fruits

 

3ème prix :     les Chamouths

cupule de bronze

                        Œuf à repriser + chaussette trouée + aiguille et fil

 

4ème prix :     Les Rhinoferos

un litre d’huile de tournesol et un kilo de farine

 

4ème prix ex aequo:            Les Crocoraptores

un bon point et un tube de wasabi (la moutarde étant introuvable)